Table des matières
NOTES - SURFING
Le mouvement émerge organiquement de la cognition incarnée
Le surfeur s'engage dans ce processus dans lequel les choix de mouvement émergent organiquement de la cognition incarnée. En opposition à une approche dualiste, Maxine Sheets-Johnstone décrit une méthode de pensée dans laquelle l'individu s'engage dans un système épistémologique qui traite efficacement les qualités environnementales par des moyens corporels et viscéraux. (the experience of the ‘ineffable qualia’ (Sheets-Johnstone, 2009, p. 38) of the beach-site’s essences articulated through a process of embodied ‘thinking-in-movement’ (p.38).)
Les réponses de mouvements produits dans cette pratique sont des mises en scène et des expressions dele travail du maraîchage l'expérience de site-danse du surfeur. Ces mouvements peuvent résonner et communiquer avec d'autres êtres incarnés d'autres êtres incarnés à un niveau pré-symbolique ou simplement être autonomes en tant qu'énonciations physiques et marqueurs en eux-mêmes, en tant que marqueurs du propre processus de «pensée en mouvement» du danseur exécuté par un corps conscient, un corps pensant, un corps qui s'ouvre au mouvement, un corps qui, dans la danse d'improvisation, éclate continuellement en danse et en cette danse comme un corps pourrait éclater continuellement en peinture et en cette peinture ou en musique et dans cette musique - un corps qui, à chaque instant, accomplit un destin cinétique et investit ainsi le monde de sens. (Sheets-Johnstone, 2009, p. 36)
Le point de départ de l'émotion est la conscience
L'eau
Zygmut Bauman, La vie liquide (2006)
Le sentiment océanique. Catherine Poulain, Le cœur blanc, éditions de l'Olivier, 2018.
Une conscience élargie. Romain Gary
Le "juice" et la violence
La notion de “violence fondamentale” suivant l'expression de Jean Bergeret (“La violence fondamentale”, ed Dunot, 1984) est réserve énergétique, réservoir de forces brutes. “La violence est puissance impétueuse prête à jaillir. Elle est au fondement de la vitalité. Cette violence primordiale ne comporte à l’origine ni haine, ni amour.” ⇒ introduction de Marie-Madeleine Laurent, psychologue, “Du bon usage de la violence”.